La communication non verbale comme matière dans les Philologies modernes ou classiques
Résumé
Le développement interdisciplinaire actuel des études de la Communication no verbale justifie l’implantation d’une matière qui enrichira de façon réaliste les perspectives linguistiques, littéraires, artistiques et socioculturelles des études de Philologie moderne ou classique. On y étudie l’histoire de sa propre langue, son évolution phonétique et morphologique, et ses différents parlers, mais on ne considère pas les changements possibles et la distribution géographique de ses répertoires paralinguistiques et (plus traçables) kinésiques, tous deux amplement décrits ou implicites dans cette littérature ou ces littératures. On y étudie aussi la civilisation, la cultures et les arts embrassés par chaque langue, mais sans profiter de la richesse des sources de communication non verbale, surtout (en plus de la peinture ancienne pour les philologies classiques) dans les époques baroque, réaliste, naturaliste et réalisme social contemporain, avec des représentations visuelles de postures, de gestes, et de manières décrites dans les textes littéraires de ces époques (et spécialement confirmées par le réalisme des meilleurs illustrateurs du XIXe contemporains de ses auteurs). Ainsi, les perspectives littéraires en philologie s’élargissent avec le réalisme social de la photographie de chaque culture. En tant que spécialiste en communication non verbale, l’auteur offre (dans l’ordre requis et avec la bibliographie essentielle) tous les sujets traités par cette matière, synthétisant (et illustrant littérairement) les thèmes fondamentaux et énumérant ceux qui sont socio culturellement incontournables dans la linguistique et la littérature, à savoir : l’identification exhaustive des éléments non verbaux contenus dans un texte ; les niveaux profonds de l’interaction personnelle et avec le contexte, explicites ou implicites dans les divers genres littéraires, surtout dans le roman et le théâtre ; la structure de la conversation y représentée ; « l’acte de lecture » et l’interaction sensorielle et intellectuelle avec le livre imprimé (par contraste avec les appareils informatiques) ; l’itinéraire sémiotiquecommunicatif du personnage et son contexte entre écrivain (créateur) et lecteur (recréateur) et leur conditionnement personnel et culturel ; la perceptions des répertoires non verbaux des personnages par le lecteur natif ou (en traduction linguistique-culturelle) étranger ; et l’approche fructifère diachronique et synchronique offerte par « l’anthropologie littéraire.Téléchargements
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