Ce que je dois à Dib

  • Abdelkader Djemaï Ecrivain

Résumé

En 1963, un an après l’Indépendance, je découvrais, non sans fierté, pour la première fois au collège des auteurs algériens qui n’étaient pas dans les programmes de l’école française que j’avais fréquentée. Parmi eux, Mohammed Dib et sa Grande Maison. A 15 ans, je franchissais ainsi le seuil de cette littérature qui allait m’accompagner dans ma vie de lecteur et d’écrivain.

Je voudrais ici raconter ma relation avec l’œuvre diverse et riche de Mohammed Dib, mes rencontres avec l’homme et mon regard sur certains de ses romans et recueils de poésie. Dans ce témoignage personnel, j’aimerai évoquer ce qu’il a pu apporter aux écrivains de la génération de l’Indépendance.

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Publiée
2020-10-22
Comment citer
Djemaï A. (2020). Ce que je dois à Dib. Thélème. Revista Complutense de Estudios Franceses, 35(2), 139-141. https://doi.org/10.5209/thel.69391