Transports publics et problèmes environnementaux en Colombie
Résumé
L'objectif général était de comprendre la situation des transports publics en Colombie à travers la revue et l'analyse de la littérature pour en déduire ses effets environnementaux dans la ville de Barranquilla et sa localité Norte-Centro Historico. La méthodologie utilisée était basée sur la méthode déductive hypothétique, avec une conception non expérimentale et une approche mixte dans la recherche de relations de cause à effet, la technique utilisée est la revue et l'analyse de la littérature, des données et des informations pour mesurer les aspects et les dimensions, conclure les causes et les conséquences, ainsi qu'interpréter les réalités dans ce cas du Centre Nord-Historique de Barranquilla, Colombie. Le résultat principal a été que les transports publics dans la ville et le village souffrent de problèmes majeurs liés à la planification et à la gestion de la mobilité urbaine en raison d'un déficit de réglementation, d'actualisation et de contrôle, même si des réglementations et des lois existent, les intérêts privés faussent leur exécution, le taux de mortalité les accidents de la route ont augmenté de 18% par rapport aux 5 dernières années, les piétons et les cyclistes étant les plus touchés, il existe un système de surveillance de la qualité de l'air inefficace et des informations obsolètes, une dépendance excessive aux combustibles fossiles, les concentrations les plus élevées de polluants atmosphériques tels que car les oxydes d'azote (NOx) et les particules (PM10 et PM2,5) sont attribués aux transports publics et sont responsables d'effets négatifs sur la santé et l'environnement, au sein des particules (PM2,5) de carbone noir ou «carbone noir» (BC) apparaît, étant le principal responsable des maladies respiratoires et cardiovasculaires, ainsi que de l'augmentation des températures puisqu'il est le deuxième précurseur du changement climatique et avec un tiers du forçage radiatif du dioxyde de carbone (CO2).
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